cliniquement mort à l’âge de 76 ans.

     Abdelaziz Bouteflika est cliniquement mort à l’âge de 76 ans.

29 avril, 2013 Posté dans Actualité,Algérie,Confidences,Flash – Scoop

 

Abdelaziz Bouteflika est cliniquement mort à l’âge de 76 ans. dans Actualité bouteflika-mort

Abdelaziz Bouteflika est cliniquement mort à l’âge de 76 ans

Plusieurs journaux suisses ont rapporté des nouvelles -incertaines jusqu’ici- sur la mort clinique du président Algérien Abdelaziz Bouteflika, qui a été transféré en urgence à l’Hôpital militaire de Val-de-Grâce dans la capitale Parisienne, après une détérioration soudaine de sa santé.

Selon ces journaux, des sources médicales suisses, non citées, disant que le président algérien Bouteflika est décédé dans une clinique Suisse à l’âge de 76 ans.

L’Algérie a connu, depuis  hier, une controverse de la capacité de Bouteflika de continuer à gouverner. Plusieurs acteurs politiques ont rejoint l’appel du RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie) à l’application de l’article 88 de la constitution Algérienne qui stipule : « Lorsque le président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le conseil constitutionnel, se réunit de plein droit et après avoir vérifier la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose à l’unanimité au parlement de déclarer l’Etat d’empêchement.
Le parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du président de la République, à la majorité de 2/3 de ses membres et charge de l’intérim du chef de l’Etat pour une période maximale de quarante cinq (45) jours. Le président du conseil de la nation qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 90 de la constitution ».

Les Algériens qui se sont réveillés dans la matinée du dimanche 28 avril sur les nouvelles de l’hospitalisation de Bouteflika, suite à un accident ischémique transitoire sans séquelles, comme annoncé  par le directeur du Centre national de la médecine sportive, le professeur Rachid  Bougherba, restent toujours vigilants et attentifs, surtout que c’est la première fois que les officiels Algériens communiquent sur l’état de santé du chef de l’Etat, qui était considéré auparavant comme le plus grand secret de l’Etat.

D’autres sources avancent que les officiels d’Alger essayent juste de retarder l’annonce de la mort de Abdelaziz Bouteflika pour les jours à venir, ce qui confirme la guerre des clans au sommet de l’Etat entre l’armée (Clan au pouvoir) et le DRS (Clan du général Toufik) , surtout depuis le début de l’année à la suite de l’affaire dite Tiguentourine et l’éclatement des affaires de corruptions ayant touché directement l’entourage de Bouteflika, et à une année des élections présidentielles de 2014.